IL N'Y A PAS QUE LES VÉHICULES MALIBU QUI SONT SPÉCIAUX
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Published: 02.05.2023

Qu'est-ce qui rend les véhicules Malibu si particuliers ?


Vous connaissez certainement les ingrédients de notre concept global de véhicule unique - les plus-values que vous sentez dans chaque Malibu : au niveau d’un plus de fonctionnalité, d’un plus de confort, d’un plus de rangements, d'un plus de bienêtre.

Un autre ingrédient important pour donner à nos Malibu Vans ce petit plus est notre personnel. Chacun d'entre eux apporte sa contribution à nos véhicules haut de gamme.

C'est pourquoi nous aimerions de temps en temps vous donner un aperçu de nos collaborateurs et surtout vous montrer ce qui se passe en coulisses. Car sans eux, le groupe Carthago ne serait pas ce qu'il est aujourd'hui.

Aujourd'hui, nous souhaitons vous présenter Michael Gapp.

Michael Gapp est collaborateur au service de la comptabilité financière depuis avril 2017. Il passe son temps libre dans sa deuxième maison - la salle de handball. Dans cette interview, il explique comment il est venu au handball, en quoi le fait d'être joueur et entraîneur diffère et ce qui est particulier pour lui dans le travail avec les enfants.

 

Le bénévolat comme deuxième maison
 

Monsieur Gapp, comment êtes-vous venu au handball et au rôle d'entraîneur ?

En 5e année, je faisais partie du club de handball. C'est à l'occasion d'un match amical que j'ai rejoint la section handball du TG Bad Waldsee - c'était il y a environ 30 ans. Depuis, je suis joueur actif et responsable du département depuis neuf ans. Avec le comité directeur, j'assume la responsabilité d'environ 100 joueurs, entraîneurs et arbitres. Il y a cinq ans, mon fils a eu l'âge de pratiquer le handball. Comme il n'y avait pas d'équipe adaptée à l'époque, j'ai créé le groupe de jeunes E et j'ai commencé à l'entraîner.

Quelle est la différence entre le métier de joueur et celui d'entraîneur ? Comment vous décririez-vous en tant qu'entraîneur et quelle est votre philosophie d'entraîneur ?

En tant que joueur, on arrive détendu à l'entraînement et on est impatient de voir ce qui va se passer. En tant qu'entraîneur, on réfléchit beaucoup à ce que l'on veut enseigner à ses protégés. L'investissement dans le temps libre est plus important en raison des préparatifs, des jours de match et des contacts avec les parents. En tant que gardien de but, je suis sous tension, bruyant et émotionnel. En tant qu'entraîneur, je suis l'antithèse et je reste calme pour montrer l'exemple et faire disparaître la nervosité. Il est important d'inculquer l'esprit d'équipe, car le handball ne peut fonctionner que grâce à la performance collective. J'essaie toujours d'agir selon la devise : "L'expérience de jeu prime sur le résultat du jeu", afin d'impliquer tous les enfants.

En tant qu'entraîneur d'enfants, quelle est l'expérience qui vous a le plus marqué ?

Durant la pandémie de Corona, ce sont les réactions des parents. Beaucoup prennent conscience de ce que la communauté et le sport signifient pour les enfants et de la structure qu'un entraînement et un match apportent au quotidien, mais aussi de ce que nous, les bénévoles, accomplissons.

Quelle est la particularité du travail avec les jeunes enfants ?

Chez les enfants, la formation handballistique n'est pas la priorité, mais le plaisir de bouger et l'intégration dans la communauté. Il est important de savoir écouter, car les enfants ont beaucoup de choses à raconter, même après une longue journée d'école. On est un assistant en cas de bouteille d'eau difficile à ouvrir, on défait les méchants nœuds dans les lacets et, de temps en temps, on arbitre les disputes.

 

Merci beaucoup pour cet aperçu, Monsieur Gapp !

Nous sommes fiers d'employer des personnes comme vous et nous vous souhaitons beaucoup de plaisir et de succès, tant sur le plan professionnel que dans la salle de handball.